Non, Julie Bocquet la fille cachée de Claude François n’a pas rencontré ses demi-frères mais elle aimerait beaucoup
Il y a 22 ans, la fille cachée de Claude François, Julie Bocquet, avait écrit aux deux fils du chanteur pour se faire connaître d’eux. Mais la lettre de la jeune fille n’avait pas reçu de réponse. Peu avant la diffusion d’un documentaire où elle s’exprime pour la première fois, Claude Junior et Marc ont publié un communiqué.
Julie Bocquet, fille cachée de Claude François, adoptée quand elle avait deux mois, affirme avoir envoyé une lettre à ses deux demi-frères quand elle avait 18 ans : “Je ne sais pas si vous allez pouvoir lire cette lettre. Je ne sais même pas si vous savez qui je suis (…) Puisqu’on a un lien, je veux vous dire que j’aimerais faire partie (un peu seulement) de votre vie”, leur écrivait-elle à l’époque. “Notre père n’est plus ici, je n’ai même pas eu la chance de le voir (…) Je donnerais tout pour le rencontrer, et pour vous rencontrer si vous le voulez autant que moi.” Elle n’a jamais reçu de réponse. Claude Junior et Marc affirmeront ne jamais avoir rien reçu.
Ce soir, elle s’exprime pour la première fois en public pendant un documentaire diffusé sur Paris Première consacré à son père intitulé Le dernier des pharaons. Sans autre but que de faire reconnaître et accepter sa filiation, pour elle et ses enfants, la femme de 40 ans laisse la porte ouverte à ses frères pour une future rencontre. Dans le communiqué qu’ils ont fait publier cette semaine, les deux héritiers de Claude François, n’expriment aucune envie de rapprochement pour l’instant : “Son récit est bouleversant. Nous comprenons parfaitement sa quête d’identité mais il s’agit là d’une histoire qui nous dépasse tous un peu. Elle explique que sa maman tombe enceinte et, éprise de notre père, décide de cacher sa grossesse jusqu’à ses parents. Il ne nous appartient pas de juger les motivations de Fabienne (mère biologique de Julie, NDRL). Tant cette dernière que Julie nous ont toujours semblées équilibrées, délicates et courtoises dans leurs approches. Nous n’avons jamais ressenti d’intentions déplacées de leur part et comprenons leurs souffrances et les respectons”
Crédits photos : JLPPA / Bestimage
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