Reportage Amiante, gravats toxiques… Après le séisme en Turquie, le risque de vouloir rebâtir hâtivement les villes dévastées inquiète

Ufuk Bayir a donné rendez-vous au pied de l’horloge de la ville d’Adiyaman, en Turquie, devenue un symbole du séisme qui a dévasté le sud du pays le 6 février dernier. L’horloge s’est arrêtée à l’heure où la terre a tremblé, à 4h17, non loin de l’épicentre du séisme. Où que l’on tourne les yeux, on ne voit que des ruines.

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Alors que Bruxelles accueille une conférence des donateurs pour la reconstruction des provinces turques dévastées par le séisme, on estime à plus de 100 milliards de dollars le coût des dégâts, sans compter la reconstruction : comme Adiyaman, ce sont des villes entières, quasiment rasées, qu’il faut rebâtir.

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