Douze belles dans la peau pour James Bond

En 1962, son maillot met en pièces Sean Connery, dans James Bond Contre Docteur No (réalisé par Terence Young).

1969, année érotique, quand Diana Rigg, déjà troublante dans Chapeau Melon Et Bottes De Cuir est Au Service De Sa Majesté, avec un Bond nommé George Lazenby.

Elle Jane, lui Moore, Roger Moore. Elle s’appelle Seymour et tout ça rime avec amour dans Vivre Et Laisser Mourir, réalisé en 1973 par Guy Hamilton.

1974: L’Homme Au Pistolet D’Or prouve que même une fille comme Britt Ekland se sent un peu nue, sans son arme.

Une très-très-très jolie fleur dans une peau de vache, cette Carole Bouquet photographiée sur le set de Rien Que Pour Vos Yeux en 1981…

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Moi D’Abo, pourrait dire Maryam qui a juré à Timothy Dalton que Tuer N’Est Pas Jouer, film de 1987 réalisé par un habitué de la saga Bond, John Glen.

Même si on n’a pas aimé Permis De Tuer, en 1989, on est tombé raide mort d’amour pour Carey Lowell, carrément belle.

Enseignement majeur de Demain Ne Meurt Jamais: tous les motards n’ont pas un un aigle dans le dos. En 1997, Pierce Brosnan, lui, a opté pour Michelle Yeoh, joli petit oiseau posé sur son réservoir, devant les caméras de Roger Spottiswoode…

Non, Le Monde Ne Suffit Pas. Il faut aussi lire Gala: on y croise souvent, en photos, Sophie Marceau qui, en 1999, est devenue l’une des plus belles James Bond girls de toute la saga 007 dans cet épisode signé Michael Apted, quelqu’un de très capable. Bref, une vraie femme fatale. D’ailleurs, regardez à quel point Pierce Brosnan semble en baver…

Il fallait avoir un grain pour revenir sur les pas d’Ursula Andress dont le sable d’une certaine plage se souvient encore. Et pas seulement le sable. Halle Berry l’a fait, dans Meurs Un Autre Jour (Lee Tamahori, 2002). Et le challenge est magnifiquement relevé. Le terme « wahouuuu » traduisant le mieux l’émotion suscitée par cette image chez tout bon spectateur mâle.

Souvent, à l’apparition de Daniel Craig, les filles s’écrient « Oh, l’gars »! Nous, les hommes, on a beuglé bêtement « Olga! », en découvrant Mademoiselle Kurylenko dans Quantum Of Solace (réalisé par Marc Forster), en 2008. D’accord, le jeu de mots même pas salace rase le bitume. Mais bon, on parle de James Bond, pas de cinéma de hauteur.

D’accord: Eva Green avait fait son apparition dans Casino Royale, c’est-à dire en 2006, où elle campait une magnifique ete vénéneuse Vesper Lynd. Alors, on a gardé l’une des meilleures pour la fin (et pour se prémunir d’éventuelles lettres piégées de fans déçus). Comment, d’ailleurs, faire le black-out sur les yeux clairs d’Eva Green? Et ce n’est pas simplement une question de fierté tricolore mais parce qu’elle nous a fait rosir de plaisir par sa seule apparition dans le sombre monde de brutes où se démène James Bond.

James Bond, un sacré métier. Que l’on soit Sean Connery, Roger Moore, Pierce Brosnan ou Daniel Craig, il faut des nerfs d’acier et un coeur en béton pour résister aux assauts de l’ennemi comme à la trajectoire des belles qui finissent toujours dans la cible émouvante (et accessoirement dans les beaux draps) de l’espion. Et alors que l’on vient d’apprendre le nom de la future James Bond Girl, qui sera incarnée (et, hein, quelle… carnation!) par Freida Pinto dans le prochain opus des aventures du héros de Ian Fleming, feuilletons l’album des conquêtes passées de 007. Et dire que ses victimes ne sont pas toutes là… Oui, vraiment, le service de Sa Majesté, c’est tuant. Euh, au fait, on signe où pour s’engager?

J.-F.T.

Lundi 22 mars 2010

Photos: Sipa

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