Herpès labial : un bouton embêtant
Environ 7 millions de Français, soit près de 15 % de la population adulte, présentent régulièrement des poussées herpétiques au niveau du visage, le fameux bouton de fièvre. Ils vivent alors un vrai calvaire conduisant parfois à un comportement d’évitement à l’égard des proches, du partenaire ou de la famille. Parce que ces problèmes sont mal vécus, alors qu’il existe des traitements et des mesures de prévention efficaces, le laboratoire GlaxoSmithKline diffusera à partir du 17 septembre, une campagne d’information sur le thème “Ne laissez plus un bouton d’herpès gâcher les plus beaux moments de votre vie“.
Une enquête conduite sur plus de 4 000 patients herpétiques a montré que sa fréquence est plus importante chez les femmes (42 %) que chez les hommes (35 %). Sur les 7 millions de Français atteints d’herpès oro-facial, un million d’entre eux font plus de 6 crises par an. Parmi les personnes atteintes, près d’une sur cinq contamine son conjoint. Enfin, chez les femmes, les poussées sont plus fréquentes entre 18 et 49 ans.
Certains conseils et précautions simples à prendre pour éviter la propagation du virus en période de crise :
– Se laver soigneusement les mains après tout contact avec le bouton d’herpès (vésicules) ;
– Ne pas se toucher les yeux ou ne pas humecter ses lentilles avec sa salive quand le bouton d’herpès est présent ;
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– Eviter les contacts directs du bouton (baisers…) avec l’entourage, et plus particulièrement avec des personnes fragiles comme les femmes enceintes, les nouveaux-nés et de manière générale tous les malades ;
– Eviter de partager du linge et objets de toilette (gant, serviette…) ;
– Le risque de transmission mère-enfant existe pendant la grossesse, au moment de l’accouchement ou après la naissance. L’herpès néo-natal est grave et il est indispensable d’éviter tout contact entre une personne contaminée et un nouveau-né.Source : Communiqué de GSK du 13 septembre 2007