, qui était reçue avec pour recevoir une décoration de la main de , a été piquée au coeur par la médaille!

Un vrai crève-coeur… Frédéric Mitterrand a été très influencé par la fausse pub’ de Marion Cotillard enjoignant les hommes à la regarder dans les yeux. Et en a tellement rajouté qu’on a frôlé la séquence gore. Résultat, notre ministre de la Culture a bien visé lorsqu’il a voulu épingler une médaille au revers de la plus américaine de nos actrices françaises. Mais il y est allé un peu fort. Et la belle Marion a défailli de douleur quand son sein a été atteint par les honneurs de la République !

Marion Cotillard aurait dû continuer à porter ses tétons sur le front, comme elle le faisait dans le spot publicitaire parodique que Gala.fr vous faisait découvrir la semaine passée. A défaut d’être glamour, l’actrice deLa Mômeaurait à tous les coups moins souffert que ce lundi quand, décorée par Frédéric Mitterrand, avec le réalisateur américain Tim Burton (sorti indemne de ce traquenard), elle a été blessée à la poitrine.

« Il est arrivé beaucoup de choses inattendues dans ma vie ces dernières années », disait, très émue Marion Cotillard qui, il est vrai a été multi-récompensée (Oscar, César, Golden Globe et BAFTA) avant d’être promue chevalier des Arts et Lettres? Mais cette dernière distinction restera gravée dans sa chair. Car la douleur de Marion Cotillard s’est lue sur son si joli minois lorsque Frédéric Mitterrand a épinglé la décoration sur son fin chemisier, transperçant le tissu couleur chair, puis la peau de la belle de chez Dior. Tant et si bien (mal?) que Marion Cotillard a vacillé et n’a évité une chute que grâce à la présence d’esprit de son bourreau, Frédéric Mitterrand. Lequel, en tant que cascadeur (il nous a fait une sacrée frayeur après une chute de scooter qui lui a valu un plâtre pour toute décoration) a su retenir une Marion Cotillard, prête à s’effondrer! La République ne fait plus tomber des têtes, mais rappelle décidément les stars au sens de la gravité. Et ce n’est pas Mylène Farmer qui dira le contraire.

Jean-Frédéric Tronche

Lundi 15 mars 2010