Les drôles de confidences d’Albert de Monaco sur ses enfants

Albert de Monaco est un papa gâteau et comblé depuis la naissance des jumeaux princiers Jacques et Gabriella : il est intarissable quand il s’agit de conter les exploits de ses enfants.

À l’approche de leur deuxième anniversaire, le 10 décembre prochain, le prince s’est confié dans les pages du magazine américain People. D’ailleurs, Albert et Charlène se préparent déjà pour cet évènement. “Nous avons décidé d’organiser un petit quelque chose à la maison avec certains des enfants de leur crèche. Ils y vont deux, trois fois par semaine et s’y sont fait des amis, alors nous avons décidé de prévoir une petite fête tôt dans l’après-midi au palais« , révèle le prince Albert qui a toujours voulu que ses enfants se sociabilisent et aient une vie »aussi normale que possible” malgré leur statut princier.

Le prince Albert s’émerveille déjà des progrès que les jumeaux font. Si ils marchent déjà avec assurance, Jacques et Gabriella se sont aussi mis à parler. « Jacques, pour le moment, est un petit garçon qui ne parle pas beaucoup. S’il veut qu’on le prenne dans les bras, il dit « Up ! », et ensuite il dit « Down », mais il ne fait pas de phrases. Gabriella, comme beaucoup de petites filles, est beaucoup plus bavarde que son frère – aussi bien en anglais qu’en français. Elle a découvert l’expression « c’est pas possible ! » et l’a très vite adoptée, confie encore Albert, tout amusé rien qu’en y pensant. Ah, celle-là… Je suis certain qu’elle va bien lui servir plus tard dans la vie. Elle a d’autres expressions, comme « tu vas me manquer » ou « je t’aime, papa ».

Albert avait déjà confié dans les pages du même magazine que la petite Gabriella était très douée avec les chiffres. Le papa de celle qui était absente lors du traditionnel pique-nique monégasque, avait déjà raconté comme il lui était difficile de laisser ses enfants pour aller travailler. Et quand son entourage insiste, cela devient »une source de conflit permanent« . »Ils n’arrêtent pas d’insister pour que j’accepte telle invitation, que j’aille à tel événement ou que je me déplace à tel endroit… Je fais de la résistance, n’acceptant que les choses essentielles », raconte Albert de Monaco.

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